Don Pierrot LUKANDA ne décolère pas face au cynisme du couple Rodolphe et Henriette Kembukuswa au sujet de la restauration de sa maison
C’est la troisième lettre ouverte au couple Rodolphe et Henriette Kembukuswa que Don Pierrot LUKANDA écrit pour donner à celui ci la chance de retaper à l’amiable sa résidence de Lubumbashi rendue crasseuse et apurer les arriérés de loyers ainsi que les factures Snel.
Cher couple Kembukuswa (Madame Henriette et Monsieur Rodolphe)!
Je reviens ici avec ma 3ème lettre ouverte, avec l’espoir de trouver en vous la moindre once de civisme qui y git probablement, afin que cette désolante situation, dont vous semblez tirer profit mais conséquemment prive ma famille de ses revenus, trouve une issue.
D’où vous vient ce triomphalisme ou cet excès d’abus non qualifiable pour rester si calme malgré les multiples interpellations? Est-ce le penchant au conflit ou le pays de la justice malade? Pensez-vous me faire fléchir et reculer devant mon droit?
Je peux comprendre que vous soyez bien installés à Kinshasa dans le quartier le plus huppé de la RDC mais songez d’abord à réparer les préjudices causés à Lubumbashi.
Ma maison est-elle un bien sans maître?
Vous avez jadis prétendu que le devis estimatif des travaux à effectuer était excessif, je vous ai proposé 3 prestataires bien réputés mais jusqu’à lors aucun signe.
Loin de moi, l’idée d’une contrepartie financière, je vous ramène à l’ESSENTIEL c’est à dire RÉPARER ensuite RENDRE les clés, point barre! Votre confort d’hier dans ma demeure n’exclut pas celui des autres occupants éventuels, après votre départ. Est-ce difficile à comprendre?
Aujourd’hui, nous entrons dans la deuxième moitié de l’année 2024 et malgré les échanges advenus entre avocats ainsi que mes multiples lettres ouvertes, aucune solution n’est trouvée. Que dire?
À votre entrée en jouissance, tout a été fait pour que vous vous y sentiez bien et j’étais rassuré que vous garderiez la maison en bon père de famille tel que renseignait votre profil.
Aujourd’hui, l’état de la maison est indescriptible et la moisissure y fait loi comme l’insalubrité, y faisant le courant électrique desservi par la Snel est coupé -factures impayées- … honnêtement res derelictae !
Je dénonce cette attitude à détruire le fruit de mon dur labeur. Je ne peux m’empêcher de me poser cette question: êtes vous venu occuper ma maison ou la détruire?
J’ai bon espoir que cette énième tentative de conciliation amiable, qui ne vise qu’à faire respecter le droit qui s’applique à chacun, aboutira tant en ce qui concerne la remise en état de mon bien, que l’apurement du non paiement des loyers. Elle témoigne, si besoin en était, de ma bonne foi.
Dans le cas contraire, à mon grand dam, Monsieur et Madame Kembukuswa, je serais au regret de donner un tour contentieux à cette affaire sous 10 jours.