La Chine réaffirme l’exonération à 100 % des produits agricoles de la République Démocratique du Congo.
Mercredi 11 juin 2025 19H locales 12h à Kinshasa, en chine c’était la fin de la réunion ministérielle des Coordonateurs de mise en œuvre des actions de suivi du Forum sur la Coopération Chine-Afrique( #FOCAC).
Initiative ayant pris ses racines depuis septembre 2024, le Leader chinois XI JINPING avait annoncé dix actions pour un montant de 50 milliards pour la période 2025-2027.
La Ministre congolais des Affaires Étrangères, S.E Thérèse KAYIKWAMBA WAGNER conduit la délégation de la République démocratique du Congo, composée du Min d’Etat de l’agriculture MUTSHAIL MUTOMB Grégoire et Julien Paluku du commerce extérieur pour participer à cette évaluation qui fait suite à l’Accord Cadre de Coopération signé le 6 septembre avec notre homologue Chinois, WANG WENTAO.
En marge de cette réunion ministérielle, des contrats sur le développement agricole; partant de la chaîne de production, la recherche agronomique, la formation, la transformation et la commercialisation, ont été signés par le Ministre en charge de l’agriculture pour marquer une nouvelle ère dans ce secteur.
La Chine a reaffirmé l’exonération à 100% des produits agricoles de la RDC, une aubaine pour les opérateurs économiques intéressés.
Une formation sur les méthodes culturales, les normes, la conformité, la certification sera assurée à travers les services spécialisés notamment, l’Office National des Produits Agricoles du Congo( ONAPAC), l’Office Congolais du Contrôle, (OCC), etc.
La RDC a également présenté les nouvelles opportunités dans l’exploitation du fer à BANALIA, province de la TSHOPO, pour l’industrie lourde dont les gisements sont 4 fois plus importants que ceux de la Guinée Conakry.
En outre, la difficulté d’obtention des visas chinois a été posée, examinée et prise en charge par la partie chinoise.
La RDC, terre d’avenir et solution du monde est disposée à développer, comme acteur et non observateur , des partenariats mutuellement avantageux parce que confiante au multilatéralisme qui n’est plus une option mais un choix en vue d’une prospérité partagée.