Le  »Genocost », tragédie sous les feux des projecteurs du Briefing de Presse.

Le  »Genocost », tragédie sous les feux des projecteurs du Briefing de Presse.

La République démocratique du Congo est fortement engagée à faire entendre sa voix au sujet des crimes commis sur ses filles et fils au profit des intérêts économiques et financiers.

Du 31 mars au 3 avril 2025 Kinshasa,la capitale du pays a vécu au rythme une table ronde sur la reconnaissance du Génocide congolais pour des gains économiques (Génocost), événement marqué par la présence du couple présidentiel.

Félix Antoine TSHISEKEDI,le chef de l’État congolais a martelé sur la nécessité de dénoncer ce Genocost,demarche dans laquelle il consacre beaucoup d’énergies.

le Fonds national des réparations des victimes des violences sexuelles liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité (Fonarev) était au devant de la scène jeudi, sous les projecteurs du briefing de presse sur animé conjointement avec Serge Mayaka, membre de la coordination du comité scientifique préparatoire de la Table ronde, ainsi que du ministre de la Communication et médias, porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya.

Le directeur général adjoint du Fonarev, Kévin Ngunga, a rappelé que depuis plus de six ans, le gouvernement de la République, sous l’impulsion du chef de l’Etat, a mis toutes les batteries en marche pour une bonne évolution dans le sens de la reconnaissance du génocide congolais.

Lui d’affirmer que  »C’est un processus qui a commencé depuis bien longtemps avec un appui considérable du président de la République et un engagement fort du gouvernement. Depuis 2019, le gouvernement s’était engagé à tout mettre en œuvre pour que la situation des victimes dans notre pays puisse évoluer et que nous puissions plus regarder du côté des bourreaux, mais aussi regarder du côté des victimes ».

Des efforts considérables sont déployés sur l’appropriation nationale du concept de Génocost par les Congolais, en lien avec les mobilisations nationales et la reconnaissance internationale du génocide congolais, qualifié de  »génocide pour des gains économiques(Génocot) ».

Du côté du Fonarev,on est focus via la table ronde organisée sur des éléments permettant de parvenir à une appropriation collective de ce qu’est le Génocost, qui est une journée nationale en commémoration des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité commis en République démocratique du Congo.

Le ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya a relevé l’importance de demeurer éveillé par rapport à ce génocide qui a endeuillé un nombre considérable des congolais.Un briefing de presse qui a fourni suffisamment d’éléments à l’opinion publique afin de bien cerner cette tragédie.

Il est temps que la communauté internationale se lève et de manière notable pour dénoncer cette situation catastrophique.

Rédaction

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